
Pourquoi on donne
On pourrait répondre que c’est pour « redonner à la communauté », ou parce que « c’est important de s’impliquer ». Mais la vérité, c’est que c’est beaucoup plus personnel que ça.
Un choix du cœur
On reçoit chaque mois des demandes de dons pour des causes incroyables : Relais pour la vie, Fondation Christian Vachon, Cancer, sclérose en plaque, organismes locaux…
Toutes ces causes nous touchent. Parce qu’elles viennent souvent de nos clients, des gens qu’on connaît, qu’on aime, qu’on sert depuis des années.
Alors pour pouvoir vraiment s’impliquer, on a choisi deux fondations. Deux lieux qui, pour nous, représentent l’essentiel : la santé physique, la santé mentale, et le bien-être de chaque personne.
C’est pour ça qu’on a choisi de concentrer nos actions sur deux lieux qui veillent sur ce qu’il y a de plus essentiel :
- La Fondation du CHUS
- La Fondation de l’Hôpital Memphrémagog
Une histoire qui a changé ma vie
En 2010, mon fils est né avec une malformation qu’on appelle le gastroschisis : ses intestins étaient à l’extérieur de son corps. Je le savais déjà, car on l’avait détecté pendant la grossesse. Mais rien ne te prépare vraiment à voir ton bébé partir en chirurgie à moins de 24 heures de vie.

Et en fait, ce qui m’a le plus bouleversée…c’est que je ne pouvais même pas le prendre dans mes bras.
Je pouvais le regarder. Toucher ses mains, sa petite tête. Mais je ne pouvais pas le serrer contre moi.
Je ne pouvais pas lui donner un bisou, me connecter à lui comme une maman le fait instinctivement.
Ça, personne ne m’y avait préparée.
Il est resté neuf semaines en néonatalogie et pédiatrie au CHUS. Et pendant ces semaines-là, c’est pas juste la médecine qui nous a portés.
C’est la Fondation du CHUS.
Ils ont été là pour nous :
→ Avec un fauteuil confortable pour dormir à côté de lui.
→ Avec des repas, quand je n’avais ni l’énergie ni l’appétit pour cuisiner.
→ Avec des laissez-passer pour le stationnement, des petites attentions qui changent tout.
→ Et surtout, avec une présence humaine, discrète mais essentielle.
Cette fondation, je ne l’oublierai jamais.
Et depuis, ma sœur Amélie, mon père et moi avons pris la décision de redonner chaque année.
Aujourd’hui, mon fils va bien. Très bien.
Et chaque fois qu’on redonne à la Fondation, c’est comme si on disait encore une fois merci. Un merci qui ne s’éteint jamais.

Un engagement concret et local
On participe à leurs événements
des tournois de golf,
des soupers-bénéfice,
des encans
On donne ce qu’on a à offrir :
- Du temps
- Des bijoux
- Des certificats-cadeaux
Parfois, c’est moi (Marie-Ève) qu’on voit au golf. Parfois c’est Amélie et notre collègue Élodie que vous croiserez sous une tente à un trou de golf ou dans un souper.
On alterne. Mais l’intention est toujours la même : contribuer, soutenir, et faire rayonner ce qui est important.
Donner, pour nous, ce n’est pas un geste marketing. C’est un geste de gratitude. C’est reconnaître qu’on a eu la chance de recevoir, et qu’on choisit de redonner. On le fait parce qu’on croit que la santé, c’est la base de tout.
Et qu’en soutenant nos hôpitaux, on soutient aussi les familles, les enfants, les humains…
Et on cultive un monde un peu plus doux.
Merci d’être là,
Merci de faire partie de cette aventure avec nous.
Merci de faire briller le cœur de Duvar, avec nous.
— Marie-Ève & Amélie